Am Samstag, den 6. März, bietet Annick Pütz im Rahmen der Produktion tock tock von 10:00 bis 12:00 Uhr einen Eltern-Kind-Workshop an, bei dem die Teilnehmer spielerische Verhältnisse erfinden sollen, aus denen nach und nach Intentionen, Rhythmen und Tanz entstehen.
La famille Almaviva débarque à Paris en plein chaos. Bégearss, l’ami de la famille, est à la manoeuvre pour conquérir Flora, la fille, et avec elle tout l’héritage, à la faveur de la découverte d’un secret de famille inavouable. Mais Figaro et sa femme Suzanne, toujours au service du comte Almaviva, veillent. Il faut encore une fois défendre de l’intérieur cette famille minée par la honte, l’aveuglement et ses propres démons.
Amour, divorce, enfants déshérités, fraude fiscale, domination masculine, religiosité fanatique et culpabilité féminine construite et entretenue : ce Beaumarchais-là nous parle bien du monde d’aujourd’hui. Après avoir soufflé sur la poussière de l’original, le metteur en scène Laurent Hatat en propose une version effrontément contemporaine et colorée.
Yolande Moreau, comédienne, célèbre lunatique de la famille Deschiens, et Christian Olivier, musicien leader des Têtes Raides, ajoutent leur grain de sel aux poèmes de Prévert. Accompagnés de quelques musiciens, elle les dit, il les chante. Et la rencontre, d’une douce nostalgie et d’un humour cocasse, nous les fait redécouvrir. Tour à tour émouvants, malicieux ou tragiques, les deux complices célèbrent à leur façon – bien trempée ! – la prose du grand Jacques qui a hissé admirablement les vies des moins-que-rien et les existences sans éclats au rang de chefs-d’oeuvre. Nos souvenirs de récitations se métamorphosent alors en de véritables moments de grâce.
En 1955 en Alabama, la ségrégation bat son plein : les Noirs sont exclus des restaurants, des bibliothèques, des jardins publics… La loi leur impose de systématiquement s’effacer devant les Blancs. Mais avant Rosa Parks, Claudette Colvin, adolescente noire, dit non : dans le bus, elle ne cède pas sa place à un Blanc. Poursuivie en justice, elle plaide non coupable et porte plainte contre sa ville. Avant elle, personne n’avait osé.
Une comédienne et une dessinatrice s’emparent de cette histoire peu connue, annonciatrice de la lutte noire antiségrégationniste. Les deux femmes proposent, littéralement, d’entrer dans la peau de Claudette Colvin, de devenir Noir et femme à une époque de violences racistes – une invitation à connaître, partager et mener un combat.
Dorante ment et s’invente une vie pour courtiser Clarice, qu’il croit être Lucrèce. Ça commence bien. Et voilà que Géronte, son père, le presse d’épouser une certaine Clarice qu’il pense ne pas connaître. Ça se complique. Dorante refuse, il tient à Lucrèce qui n’est autre que Clarice. Et quand Clarice demande à son amie Lucrèce de se faire passer pour elle et d’épier Dorante, la confusion est totale.
Vous n’avez rien compris ? Ce n’est pas grave. Il suffit d’entrer en douceur dans ce déluge de quiproquos et de tirades mensongères. Car le mensonge est au centre de la pièce de Corneille que Julia Vidit actualise avec sa troupe multiculturelle. Dans le monde branché des selfies et des like, qui ne jure que par l’image, cette pièce interroge nos faux-semblants et pose la question : voulons-nous vraiment parler vrai ?
Il était une fois, une forêt profonde, dans un pays imaginaire qui pourrait être une région de Pologne, de Russie, pourquoi pas la Lorraine. Peu importe. La faim y sévit. Chaque jour, un train traverse l’épaisseur du grand bois. Et comme tout arrive dans les contes, voilà qu’une petite marchandise tombe du train. À l’intérieur : une petite fille…
Fils et petit-fils de déportés, Jean-Claude Grumberg, l’un des dramaturges français contemporains les plus joués dans le monde, a choisi la métaphore pour évoquer la Shoah, la survie, et l’amour. « Je voulais raconter que dans toutes les situations inhumaines, l’humain vit encore, et que la moindre étincelle peut faire repartir quelque chose », déclare-t-il.
Grenzerfahrungen. 200.000 Menschen überqueren täglich die Grenzen Luxemburgs – Tendenz steigend. Um die gesellschaftlich-politischen und persönlichintimen Facetten dieses Phänomens offenzulegen hat Sophie Langevin zahlreiche Interviews geführt. Aus ihnen komponiert die Regisseurin ein berührendes Hörspiel, das im Frühjahr per Podcasts ausgestrahlt wird. Dazu bietet das Escher Theater aber eine einzigartige Live-aufführung an. Auf der Bühne geben vier Schauspielerinnen französischen, belgischen, deutschen und luxemburgischen Frauen eine Stimme, um ein Porträt der Grenzgängerinnen zu schaffen, in dem Fremdheit dekonstruiert und durch Menschlichkeit ersetzt wird. Jenseits der Trennung wird der Grenzraum so als dynamischer Raum des Austauschs erfahrbar.
Organisiert in Partnerschaft mit der ASTI – Association de Soutien aux Travailleurs Immigrés. Zwischen den beiden Vorstellungen wird um 16:00 eine Podiumsdiskussion in Anwesenheit von Grenzgängerinnen stattfinden.
Die Vorstellung wird auf der Spielzeit 21/22 verschoben werden.
Yoann Bourgeois ist ein absoluter Ausnahme- Akrobat. Mit seinen Überschreitungen der Gesetze der Schwerkraft hat er sich in die Herzen eines breiten Publikums gespielt. Doch damit nicht genug: auch als Jongleur und Choreograph hat er uns verzaubert. Heute kehrt er mit einem neuen Programm und neuen Kunststücken auf die Bühne zurück. In atemberaubenden Nummern sehen wir ihn am Trapez, als vogelgleichen Sänger, zaubernden Derwisch, fliegenden Fakir – und das ist noch lange nicht alles! Kommen Sie, um einen der größten Meister seines Faches zu bewundern!
The show must go on, est-ce vraiment une injonction ? Quand l’être humain s’est-il tordu de rire pour la première fois ? Et à quel propos ? Porter des fripes, est-ce déjà faire la révolution ? L’estime de soi se mesure-t-elle en traversant un lac en ski nautique, qui plus est à l’âge de la pré-retraite ? Faut-il être finaliste de Koh Lanta ou de The Voice pour enfin rassurer ses parents ? La chaleur d’un premier slow s’oublie-t-elle avec le temps ? Nos survêtements Quechua nous donnent-ils du courage en forêt ? Serons-nous capables d’aimer dans mille ans ? Fera-t-il froid ou chaud ? Trouverons-nous toujours les mots pour nous inquiéter tous ensemble ? Et d’ailleurs, le serons-nous toujours, ensemble ? Il en a beaucoup, le Lutz, des questions. Pour son retour à la scène, loin du refus d’obstacle, le petit blond qui s’est adjugé un César (du meilleur acteur) et un Molière (de la Comédie), place la barre très haut. Et la franchit avec une rare tendresse.
Was wäre, wenn der Kreis uns plötzlich seine subtilen und poetischen Geheimnisse anvertrauen würde? Im Rahmen der Produktion Plein Soleil bietet das Ensemble Compagnie Via Verde einen kreativen Eltern-Kind-Workshop an, am Sonntag, den 25. Oktober, von 10 bis 12 Uhr.
Der Workshop ist leider ausgebucht
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