The Game – Grand Finale

Place au jeu ! Lauréate du Lëtzebuerger Danzpräis, la chorégraphe Jill Crovisier abat toutes ses cartes pour explorer l’intensité, la jouissance et les travers propres au jeu. Au fil de ce spectacle qui verse dans la fantaisie la plus débridée, huit interprètes, aussi excellent·es danseur·euses que bon·nes comédien·nes, font assaut de talent et d’invention. La musique fait monter la température de cette équipée rocambolesque. Sold out aux Théâtres de la Ville de Luxembourg, The Game – Grand Finale offre un moment de plaisir et d’excitation, comme seul le jeu est capable d’en produire.

One Shot

Figure mondiale de la scène hip hop, Ousmane Sy – subitement disparu en 2020 – s’est imprégné de la house dance découverte dans les clubs de New York et de Chicago. Comme Queen Blood ovationné la saison passée au Escher Theater, son ultime spectacle fait danser une équipée exclusivement féminine, propulsée cette fois en direct par les platines d’un DJ. Joueuses et combatives, confondantes de précision, ces femmes se lancent dans d’insolents solos ou font corps toutes ensemble. Avec l’énergie exaltante des « battle », elles créent un espace de fête, d’expression de soi et de partage, dans une furieuse envie de vivre.

Atelier de chants traditionnels luxembourgeois

Animé par Manfred Logelin, cet atelier organisé en collaboration avec Sequenda Luxembourg vous propose une exploration des chants traditionnels luxembourgeois, offrant une immersion culturelle unique et enrichissante. Aucun niveau de langue ni d’expérience en chant n’est requis pour participer. Venez simplement avec votre enthousiasme et votre curiosité.

Astor Piazzolla : Tango Passion !

Ce soir, on joue de la musique, on chante, on danse et on arpente les ruelles de Buenos Aires. Accompagnée d’un accordéoniste, d’un contrebassiste et de deux danseur·ses virtuoses, la soprano Stephany Ortega nous fait revivre l’infatigable inventivité d’Astor Piazzolla, père du tango moderne. Cet homme a su capter l’esprit populaire du tango – pilier de la culture argentine – en l’exprimant à travers une nouvelle voix, aux influences classique et jazz. La soirée présente un ensemble de ses plus belles canciones pour nous transmettre, avec une petite touche pop et électro, une source inépuisable d’émotions et de sensualité.

 

United Ad + Hoc Ensemble

Les chemins du tromboniste et compositeur de jazz sarrois Christof Thewes et du saxophoniste-compositeur italo-lorrain-luxembourgeois Luciano Pagliarini se sont déjà croisés par le passé, à l’occasion de projets musicaux d’une certaine envergure (ciné-concerts). Le samedi 24 février à 20h, on les découvre sur la scène de l’Ariston. Pour ce concert, Luciano et Christof évolueront en quartette, entourés du contrebassiste berlinois Jan Roder et du batteur luxembourgeois Michel Meis. Au programme: une musique éclectique, ouverte, dynamique et pleine de surprises… Le concert a été réalisé en collaboration avec NEWJAM asbl.

Concert gratuit, réservation nécessaire

Musique Militaire Grand-Ducale

Issu·es des Conservatoires des villes de Luxembourg, d’Esch-sur-Alzette et du Nord, les meilleur·es lauréat·es de l’examen national pour l’obtention du diplôme supérieur (année 2022/2023) sont placé·es sous le feu des projecteurs. Le public découvrira leurs talent et travail, avec le concours de la Musique Militaire Grand-Ducale.

Les solistes du gala des lauréats sont Katarzyna Kawinska au chant (Conservatoire de la Ville de Luxembourg), Tracey Lamberty-Wohles à la trompette (Conservatoire de la Ville de Luxembourg) Nicolas Leydenbach au piano (Conservatoire de la Ville de Luxembourg) Catherine Origer à la flûte piccolo (Conservatoire de musique de la Ville d’Esch-sur-Alzette) et Raphaël Clement à la contrebasse (Conservatoire du Nord).

La Musique Militaire Grand-Ducale est placée sous la direction de son chef de la musique, le lieutenant-colonel Jean-Claude Braun.

Yumé

Inspiré de contes nippons, Yumé raconte le périple d’une héroïne recherchant son ombre perdue. Une quête initiatique l’attend, peuplée de créatures mystérieuses et magiques. Sur scène, des jeux d’ombre et de lumière nous plongent dans le rêve de la protagoniste. Objets et étoffes prennent vie autour de la danseuse, portés de main de maître par quatre artistes vêtu·es de noir et tapi·es dans l’obscurité. Invisibles à l’oeil nu, la tradition japonaise les nomme Kuroko. Cet art de l’illusion transporte adultes et enfants dans des contrées fantastiques pour nous mettre, littéralement, la tête dans les nuages.

Les p’tits brunchs du théâtre
Le dimanche midi, on vous propose un brunch suivi d’une séance de cinéma (Le Château ambulant) !

Attention : Brunch complet

Gala « Fantasy »

Pour son second concert annuel au Escher Theater, l’Harmonie Municipale d’Esch/Alzette fait une incursion dans l’univers de la science-fiction et de la fantasy. Accompagné d’une projection d’images, le programme musical donne à entendre parmi les plus grands classiques du genre. L’orchestre interprète entre autres les compositions de John Williams pour rappeler à l’imaginaire des petits et grands spectateur·rices les aventures du plus célèbre des jeunes sorciers, Harry Potter. Les fans de la trilogie du Seigneur des Anneaux, de Dragons, du Monde de Narnia ou bien même de Pinocchio ne seront pas en reste.

HMEsch goes Beethoven

Beethoven tenait en très haute estime les idéaux de liberté et de fraternité. Les deux compositions choisies par l’Harmonie Municipale d’Esch/Alzette mettent en lumière les thèmes chers au grand compositeur allemand, tels que la volonté de justice, le courage politique et la solidarité illustrée par l’amour conjugal. L’ouverture Leonore n°3 de son opéra Fidelio s’inspire de l’histoire d’une femme déguisée en homme, engagée comme geôlier d’une prison, qui parvint à libérer son mari arbitrairement incarcéré. L’orchestre eschois interprète ensuite la dernière symphonie de Beethoven, la Neuvième, véritable appel à l’union universelle de toute l’humanité.

Introduction au concert par Jean Thill à 19h30, en français le premier soir, en luxembourgeois le second.

Insaciable

FR Dans une création applaudie au Festival de Flamenco de Séville, Lucía Álvarez La Piñona prolonge dans le mouvement et l’émotion l’obsession qui l’habite : obsession du désir et des plaisirs soi-disant interdits. En plusieurs séquences introspectives, elle se dévoile sans honte ni pudeur, à la fois vulnérable, excessive et animale. Les pas, la guitare et les voix pleines de cinq interprètes masculins répondent à la danse puissante et charnelle de l’artiste andalouse. Presque une transe, dans laquelle le/la spectateur·rice est convié·e non pas comme un oeil extérieur qui regarde mais comme un coeur insatiable lui aussi, invité à flamber.

ES Lucía la Piñona, que se describe como “incansable, exce siva, pasional, sensible y contradictoria”, ha ido en busca de su ser y sus sentires más íntimos, más espirituales y más corpóreos, “dispuesta a empaparse, tambalearse, seducir y desplomarse” (Kiko Valle). En Insaciable, espectáculo estrenado con éxito en la Bienal de Sevilla y triunfante en el de Jerez, Lucía la Piñona explora sus emociones hasta los límites físicos y anímicos de su baile, sin decorado ni dramaturgia, en un viaje esencial construido sobre lo sensorial y guiado por el deseo y la curiosidad.

Dans le cadre du FlamencoFestival Esch

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