Drôle, énergique et impertinent,Good Girls part d’interviews réalisées au Luxembourg, en Lituanie et au Royaume-Uni, auprès de femmes ayant vécu une interruption volontaire de grossesse. Car l’impact de cette dernière peut en effet se manifester de différentes façons, parfois loin des séquences douloureuses communément admises.
Sur une musique live joyeusement débridée, trois performeuses abordent le sujet de plein fouet, avec l’émotion nécessaire mais aussi avec légèreté parce que parfois, l’avortement peut être dédramatisé.
Une table ronde en présence du Planning Familial du Luxembourg et des artistes du spectacle aura lieu après la représentation du jeudi à 21h00.
Spectacle présenté en partenariat avec le Planning Familial, dans le cadre d’Esch2022, Capitale européenne de la culture.
Sur simple demande, des gilets vibrants peuvent être mis à disposition aux personnes sourdes et malentendantes.
Im Dezember 1945 stirbt Gustav Simon, ehemaliger Gauleiter und Chef der Zivilverwaltung Luxemburgs. Das Medienecho ist groß, doch bis heute sind die Umstände seines Todes nicht abschließend aufgeklärt. Offiziell begeht er Selbstmord in seiner Zelle in Paderborn. Doch gibt es auch Indizien, die auf eine andere Geschichte hinweisen: Simon wäre demnach bei seiner Überführung von Paderborn nach Luxemburg Opfer der Lynchjustiz ehemaliger Widerstandskämpfer geworden. Oder haben ihn doch die Personen getötet, die seine Überführung organisierten?
Die Autorin Elise Schmit und die Regisseurin Anne Simon erwecken diese Fragen erneut zum Leben. Sie nehmen die Zuschauer*innen mit auf eine faszinierende Reise durch den Möglichkeitsraum der Geschichte. Fakt, Fiktion und Interpretation verschmelzen zu einer packenden Befragung der nie ganz einzufangenden Wahrheit.
Veranstaltungen auf dem Vorplatz des Musée de la Résistance. Treffpunkt vor dem Escher Theater 30 Minuten vor der Vorstellung.
Qui a écrit la Déclaration universelle des droits de l’Homme ? Une clique de nations privilégiées, à l’exclusion d’autres (futurs) pays, d’autres minorités, d’autres façons de voir le monde ? Ce spectacle nous plonge dans les années 1940 – à la fin de la Seconde Guerre mondiale – pour revenir sur les délibérations qui ont donné naissance à cette Déclaration. Et autant le dire tout de suite, la compagnie portugaise mala voadora, à l’origine du projet, n’y va pas de main morte pour réécrire un texte qui s’est vu reprocher son inspiration occidentale. Sur scène, un groupe de comédien·nes et de citoyen·nes font apparaître, à partir des idées qui surgissent des discussions, une nouvelle musique, une musique commune.
« Pour moi, la beauté existe dans l’insoumission ». De Bristol à Séville, de Haïti à Marseille, l’artiste britannico- rwandaise Dorothée Munyaneza tisse les parcours de six artistes noires, africaines ou afro-descendantes. Dans ce spectacle choral et sculptural, où le costume offre un fil rouge sur le plateau, ces femmes sont habitées par une force collective qui rend leur rencontre possible. « Libres, audacieuses et porteuses d’histoires de peuples marginalisés », elles dansent, chantent et clament une mémoire commune et intime. Cet affranchissement les unit dans un monde où elles ne cesseront jamais, entre colère et douceur, d’être souveraines.
Quand il pense à sa vie, le père de Romy n’a qu’un seul regret : ne jamais être allé de l’autre côté, dans le monde des « visibles ». Sa fille fait elle aussi partie des « invisibles », ces humains marginalisés en périphérie. Elle décide pourtant de franchir le pas, de traverser la frontière qui la sépare de l’autre monde. Elle ne sait pas qu’il y a là-bas un homme un peu seul, un peu fou, prêt lui aussi à vivre une impensable histoire d’amour.
Dans cette fable contemporaine, ni Capulet ni Montaigu, mais des « visibles » et des « invisibles » dans une ville coupée en deux par un pont. Fidèle au ciné-théâtre qui a fait son succès, La Cordonnerie mêle le mythe littéraire, la vidéo, la musique et les bruitages, pour faire exister deux mondes si loin, si proches. C’est un théâtre visuel, sensoriel et magique. L’histoire de deux individus qui luttent contre les algorithmes de la vie et tentent de voir par-dessus eux, parce qu’ils sont l’un pour l’autre une porte ouverte vers quelque chose de plus grand.
Dans le cadre d’Esch2022, Capitale européenne de la culture.
L’impossible partition de l’amour. Ils y croyaient, ils y ont cru. L’amour fou, absolu, définitif. Mais c’est fini. Une femme et un homme ont fait comme tout le monde : le mariage, la maison, la vie posée, avant d’être pris tous les deux dans les filets insolubles de la passion. Dans le même hôtel que celui de leurs premiers amours, ils vont chercher à comprendre l’énigme qui les a amenés au désastre. Avec Catherine Salée et Yoann Blanc, deux comédien·nes révélé·es au grand public dans la série belge La Trêve, ce spectacle ausculte le couple et interroge les non-dits qui sommeillent entre les anciens amants. Déception, colère et amertume ; les émotions se bousculent. Pris·es à parti, les spectateur·rices sont les témoins de l’intimité d’une histoire ordinaire qui prend fin où la parole ira jusqu’au bout, et l’amour aussi.
Nomination aux Prix de la Critique 2017, Belgique, Meilleure mise en scène.
René Deltgen war 19 als er Luxemburg verließ, um in Köln Schauspiel zu studieren. Der „Escher Jong“ wurde schwindelerregend schnell von Publikum und Presse gefeiert für sein körperbetontes Spiel und seinen ungekünstelten Ton. Als die Nazis die Macht übernahmen, gehörte er zur ersten deutschen Schauspielergarde. Wie viele seiner Kollegen, verfing er sich in Goebbels Spinnennetz. Er wurde Staatsschauspieler von Hitlers Gnaden.
Bei seinen Landsleuten fiel der Luxemburger jedoch in Ungnade. Empört über seine Unterschrift unter zwei Nazi-Manifeste, verurteilten sie ihn nach dem Krieg als collaborateur. In Deutschland hingegen setzte er seine Karriere erfolgreich fort.
Die in Deutschland erfolgreichen Luxemburger Schauspieler, André Jung und Luc Feit, erzählen von schwierigen Momenten im Leben ihres berühmten Kollegen, hinterfragen sein Handeln im Spannungsfeld zwischen Kunst und Politik. Viele Fragen werden beantwortet, bei anderen kommt man über Vermutungen nicht hinaus. Möge der Zuschauer sein eigenes Urteil fällen. Schauspieler sind keine Richter, sie sind Erzähler.
Im Rahmen von Esch2022, Europäische Kulturhauptstadt.
Deux nouvelles représentations les 13 et 14 juin !
Ah, l’Europe ! C’est simple : en France, on parle le français ; en Allemagne, l’allemand ; en Italie, l’italien ; au Portugal, le portugais ; et au Luxembourg, le luxembourgeois… enfin pas que ! Collectif venu de la capitale belge, Transquinquennal a réuni cinq comédien·nes qui ne parlent pas tou·tes la même langue pour questionner le multilinguisme au Luxembourg. Le public devient l’auditeur d’un colloque plus ou moins officiel et joyeusement débridé, consacré à l’insécurité linguistique. Un spectacle à l’humour enjoué et décalé, mais aussi sérieux, de par les informations données qui remettent en perspective nos préjugés – et nos convictions même – sur le sujet.
« C’est une classe maudite, oubliée. » Des personnages acculés à la solitude, au désespoir social et qui s’enferment dans une forme de masculinité virile : les textes d’Édouard Louis et de Franz Kafka ont beaucoup en commun. L’un évoque un père « tué » par sa condition de prolétaire, l’autre montre un primate qui « singe » les hommes pour survivre. Sans concession et avec humour parfois, la création bilingue du Escher Theater dévoile la parole rare de dominés qui veulent aimer sans le pouvoir et n’ont pas leur place dans la société. « Pour les dominants, dit Louis, la politique est une manière de se penser, une manière de voir le monde, pour nous c’était vivre ou mourir. »
Die Kompagnie Independent Little Lies bringt gemeinsam mit der Biergerbühn Dürrenmatts Klassiker Der Besuch der alten Dame auf die Bühne des Escher Theaters. Die Inhalte des Stücks sind brandaktuell und politisch: Eine Frau deckt anhand ihrer eigenen Leidensgeschichte strukturelle Ungleichheiten auf und bekämpft das Patriarchat mit dessen eigenen Waffen!
Claire Zachanassian kehrt nach mehr als vierzig Jahren in ihr verarmtes Heimatdorf Güllen zurück. Als junges Mädchen hatte sie sich dort in Alfred Ill verliebt. Doch das Glück ihrer Beziehung hielt nur, bis Claire schwanger wurde. Alfred entzog sich jeder Verantwortung und beschämte Claire vor der Dorfgemeinschaft. Sie musste gehen – er blieb. Wie reagiert er nun auf das Wiedersehen mit der mittlerweile einflussreichen Claire? Was passiert mit einer Dorfgemeinschaft, wenn sie eine Milliarde für den Tod eines Mitbürgers angeboten bekommt?
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