En lien avec le spectacle Frantz, nous vous proposons un atelier de découverte du bruitage au théâtre. À travers le mime, l’improvisation et des objets du quotidien, les participant·e·s apprendront à recréer des ambiances sonores et à donner vie à des scènes sans paroles.
En expérimentant comment un simple sac plastique peut évoquer la mer ou un trousseau de clés une émotion, chacun·e développera une écoute active et une nouvelle façon de percevoir les sons qui nous entourent. L’accent sera mis sur l’imagination, la poésie du décalage, et la relation entre corps, geste et bruitage.
Aucune expérience préalable n’est nécessaire. Les participant·e·s sont invité·e·s à apporter un ou deux objets dont le son leur semble intéressant.
Depuis 1985, la Compagnie Mossoux-Bonté développe depuis 40 ans des spectacles de suggestion qui tendent un miroir à notre inquiétante étrangeté. Leur méthode de travail aborde la relation du mouvement à la présence, au travers d’improvisations basées sur l’écoute du groupe, la charge des intentions, le développement de situations et leur stylisation. Nicole Mossoux et Patrick Bonté partageront leur méthode de travail et initieront les participant·e·s à l’art de l’improvisation.
Autour du spectacle Success Story, les artistes vous invitent à un atelier de chant et de pratique musicale. L’atelier est ouvert à tout·e·s à partir de 16 ans, sans condition de niveau ou d’expérience.
Et si on passait un dimanche après-midi au théâtre ?
14h : Atelier de chant et pratique musicale
15h30 : « Kaffi&Kuch » – échanges autour d’un café
17h : Spectacle Success Story
En marge de la pièce 12 hommes en colère, le Escher Theater propose la projection du film de Sidney Lumet, réalisé en 1957. Ce huis clos en noir et blanc avec Henry Fonda dans le rôle-titre, est devenu un classique du cinéma, toujours considéré comme un chef d’œuvre du genre.
Synopsis : Un jeune homme d’origine modeste est accusé du meurtre de son père et risque la peine de mort. Le jury composé de douze hommes se retire pour délibérer et procède immédiatement à un vote : onze votent coupable, or la décision doit être prise à l’unanimité. Le juré qui a voté non-coupable, sommé de se justifier, explique qu’il a un doute et que la vie d’un homme mérite quelques heures de discussion. Il s’emploie alors à les convaincre un par un.
Née à Cape Town, la compagnie Zip Zap Circus a développé sa propre école de cirque social, qui utilise les arts du cirque comme levier d’inclusion, d’émancipation et de transformation sociale. En marge du spectacle Moya, la compagnie propose un atelier destiné aux enfants accompagnés de leurs parents pour découvrir leur approche accessible et ludique du cirque, centrée sur la création de lien, la coopération et le respect des différences.
L’atelier est ouvert aux enfants à partir de 8 ans accompagnés d’un (ou plusieurs) adulte(s).
De toute évidence, le jeune homme ne peut être que coupable. Au terme de son procès dans un tribunal new-yorkais, le jury se retire pour délibérer. La sanction s’impose – la chaise électrique – lorsqu’à la surprise générale, un des jurés refuse de voter à l’unanimité. Reprenant le déroulement du procès, il démonte les preuves, relève les contradictions, et sème le doute…
Charles Tordjman adapte la pièce Douze hommes en colère de Reginald Rose, immortalisée par le film culte de Sidney Lumet en 1957. Parmi les jurés, nous dit-il, „il y a l’envie d’en finir avec ce coupable idéal, prédestiné à faire monter la colère“, tant les préjugés des uns, les hésitations des autres, risquent de faire voler la vérité en éclat. Un huis clos sous haute tension déjà vu par plus de 250 000 spectateur·rices, où le suspens ira jusqu’au bout.
Meilleure pièce de théâtre des Globes de Cristal 2018
Une discussion avec l’équipe artistique aura lieu à l’issue de la première représentation.
Après Frankenstein la saison passée, la compagnie Karyatides redéploie l’univers poétique et la maîtrise technique du théâtre d’objet qui fait son succès en Europe. Sa nouvelle création nous plonge au plus intime, au plus intense de la conscience de Raskolnikov. Principal protagoniste imaginé par Dostoïevski dans Crime et châtiment (1866), cet étudiant fauché assassine une vieille usurière malveillante, pour affirmer sa supériorité morale dans une société injuste et pervertie. Conscient de l’atrocité de son crime, en proie aux remords et au délire, le jeune homme est convaincu qu’il sera bientôt démasqué par le commissaire Porphyre… Cabaret des bas-fonds, tribunal de la conscience, musiques rock et planantes : la compagnie belge revisite le chef-d’oeuvre de la littérature russe et pose la question : de quoi sommes-nous, finalement, humainement responsables ?
Une discussion avec l’équipe artistique aura lieu à l’issue de la première représentation.
L’histoire commence l’instant d’après. Après la fugue de Sara. Sa mère, ses amours et ses camarades s’interrogent. À travers leurs voix, un jeu de piste se met en place pour comprendre le geste de l’adolescente.
Avec des percussions live rendant perceptibles les essoufflements et les battements de coeur de Sara, le spectacle plonge dans l’esprit de la jeune fille bouleversée par les crises sociales et environnementales. Que se passe-t-il, quand une enfant ne cherche même plus à affronter la génération de ses parents ? Quand elle décide de se retirer du monde, de déserter ? Faire face à cette radicalité, c’est être mis·e à l’épreuve.
Musical et poétique, Bienvenue ailleurs questionne le choix de Sara et invite à réfléchir ensemble à d’autres façons d’exister.
Une femme amoureuse appelle son amant au téléphone. Il a décidé de rompre pour une autre… Dans un ultime échange, elle oscille entre espoir et résignation, douleur et besoin de connaitre la vérité.
Dans ce célèbre monologue de Jean Cocteau – repris dans une forme lyrique par Francis Poulenc en 1959 – la femme délaissée est souvent représentée comme une simple amoureuse meurtrie, qui se rabaisse sans cesse pour un homme manifestement peu intéressé par elle. Par leur mise en scène, Mária Devitzaki et Rhiannon Morgan sont décidées à inverser ce regard. La voix de la soprano et le corps de la danseuse se conjuguent pour révéler le combat intérieur d’une femme vulnérable, mais résiliente.
Accompagnées d’un pianiste et de vidéos projetées, les deux artistes luxembourgeoises racontent une rupture amoureuse où la protagoniste, finalement, reprend le dessus, maîtresse de son destin.
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