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Ça sent bon le grand large ! Brocante de Saint-Lunaire, côte bretonne. François Morel, mains dans les poches, déambule entre les étals. Au fil de sa flânerie, il tombe sur un exemplaire écorné des chansons marines de Yves-Marie Le Guilvinec, pêcheur de son état, natif de Trivagou (entre Dinan et Dinard pour les initié·es), disparu en mer en 1900 ivre de calva. En ni une ni deux, Morel décide de l’arracher aux abysses océaniques. S’ensuivent une restauration des textes, une mise en musique et surtout, en spectacle. Morel devient Le Guilvinec le temps d’une pièce de théâtre musical aux rengaines bien salées. Accompagné de ses acolytes musiciens, l’ancien fromager des Deschiens embarque son public pour Porto Rico, Zanzibar et Terre-Neuve. Il chante des œuvres, ô combien injustement tombées dans l’oubli, telles que « Avec le thon oui tout est bon » ou « Je n’irai pas à la morue sans avoir courtisé lulu ». De la pure poésie bretonne, au Escher Theater, parce que vous le valez bien.
Quand deux amoureux de Prévert se rencontrent autour de ses textes, cela crée des étincelles ! Avec émerveillement et malice, Yolande Moreau et Christian Olivier croquent le portrait du poète et nous font (re)découvrir de nombreux poèmes connus ou inconnus.
Indices obscurs, pièces à conviction troublantes, armes du crime potentiel : Agnès Limbos fouille les bribes de souvenirs d'une femme et décèle, dans une ambiance de polar teintée d’humour, ce qui se niche dans les recoins les plus sombres de l’âme humaine.
Transquinquennal a réuni cinq comédien·ne·s qui ne parlent pas la même langue pour explorer les occasions de ne pas se comprendre, dans le plaisir du quiproquo. Réussiront-ils et elles à cohabiter ?
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