The New York Times
“The dancer Ana Morales displayed gorgeous arching-back fluidity and rapid-fire footwork in a performance at the Bienal de Flamenco in Seville, Spain.”
Canciones para el silencio
FR « L’Andalousie faisait partie de ma peau avant moi ». Sans sa permission, Ana Morales évoque le souvenir de son père, Sévillan émigré en Catalogne, et met au jour, par sa danse fiévreuse, les mots qui entre eux n’ont jamais été dits. D’une robe traditionnelle à un costume masculin, de l’authenticité d’un cabaret gitan à une gestuelle contemporaine, la chorégraphe déroule toutes les esthétiques du flamenco, et en chemin, trouve son identité. Un spectacle personnel dans lequel elle est accompagnée d’un danseur hors pair, José Manuel Álvarez, et du majestueux chanteur Juan José Amador qui incarne le père disparu.
ES Ana Morales explora sus recuerdos de un padre nacido en un tiempo de hombres callados. Sola primero, rodeada luego de figuras masculinas de simbolismo polivalente, distintas facetas de su relación con la masculinidad, Ana emprende un viaje poético al fondo de su memoria. La escenografía, austera, enmarca la soledad de esta depuración íntima. Nada sobra, todo es esencial. En su caminar interior hacia la construcción de la propia personalidad, “Ana ha logrado convertir su historia en la historia de todos, ir del caso personal al universal, tocar además de la piel, el hueso.” (Silvia Cruz Lapeña).
À 19h30, la journaliste Silvia Cruz Lapeña introduira la soirée.
Dans le cadre du FlamencoFestival Esch