A Menina do Mar ass dat éischt Kannerbuch, dat déi bekannt portugisesch Schrëftstellerin Sophia de Mello Breyner Andresen 1958 geschriwwen huet. Dëst Märchen erzielt vun enger aussergewéinlecher Frëndschaft tëscht engem Jong, deen um Land wunnt, an engem Meedchen, dat am Mier lieft. De Virwëtz vun deenen zwee Kanner erméiglecht et hinnen, trotz hirer Verschiddenheet, deem aneren seng Welt kennen an acceptéieren ze léieren. D’Meedche léiert wat et heescht, eppes ze begieren, a wat Frëndschaft a Freed ass; de Jong ass averstanen, seng Welt opzeginn a mam Meedchen um Mieresbuedem ze liewen.
Le dimanche midi, on vous propose un P’tit brunch du théâtre : de quoi boire et manger, avec un atelier ludique pour les petits à la clé !
Dominique a perdu son emploi puis, progressivement, sa maison. Toute seule sur le bord de la route, elle échoue à l’orée d’un bois. Elle a peur de ne plus exister pour personne, de perdre ses couleurs, puis de disparaître… Et c’est là, dans une nature aux vertus magiques, que Dominique rencontrera d’importants amis comme ce rocher de granit ou ce menhir au pied duquel, plus sereine, elle se reposera au coin du feu. Dominique pourra se laisser porter, éveiller sa curiosité, s’interroger et repartir nourrie de chaleur, d’intensité, de réponses et… de chansons.
Elle est « d’ici », lui d’un « là-bas » qu’il a dû fuir. Marie a du mal à se représenter les mots étranges des adultes comme « exil », « réfugié·es » ou « guerre ». Hichem vient de loin et a parcouru des milliers de kilomètres pour découvrir la paix. Dans la cour de l’école, comment les deux enfants peuvent-ils se rejoindre ? Avec leurs corps, leurs mains et du feutre noir, deux interprètes dansent et dessinent une immense fresque, donnant les clés du passé d’Hichem… Tendre et poétique, le spectacle de la chorégraphe Florence Bernad explique la migration et l’asile à hauteur d’enfant, pour faire passer un message fort d’espoir et de tolérance.
Ech si vun hei, du vun anzwousch anescht. Wat fänke Kanner mat dëse Sätz un? Exil, Flüchtling oder Krich – grouss Wierder, déi een de Klengste vun der Gesellschaft bäibrénge muss. Dat ass d’Zil vun Ech sinn Tiger, engem Spektakel, dat Akrobatie, Danz a Molerei verbënnt. Den Hichem kënnt vu wäit ewech, fir endlech a Fridden ze liewen. Am Schoulhaff spillt hie mat dem Marie. Si probéieren een deen aneren ze verstoen. Zwee Kënschtler:innen erzielen dës Renconter, déi d’Choreografin Florence Bernad zesummegestallt huet, op eng duuss a poetesch Manéier. Eng Geschicht iwwer Toleranz a Virwëtz fir Kanner, déi hinnen op Aenhéicht begéint.
Vitesse et jeunesse ! De la première à la dernière seconde de Juventud, cinq jongleurs manifestent une endurance et une audace à toute épreuve. Faite d’affrontements dansés et de jeux de mains complices, la chorégraphie ne laisse aucune place aux hésitations. Chaque mouvement en entraine un autre, dans une déferlante de numéros contemplatifs dont le rythme, implacable, va crescendo. Objets traditionnels du jonglage, les balles, les massues et les anneaux se forment et se déforment pour épouser les corps et prendre, tout en poésie, une autre vie.
Prix de l’innovation, Festival Mondial du Cirque de Demain 2023
Vous êtes désespérément perfectionniste ? Lui aussi ! Muet comme une carpe et malin comme un singe, notre ami semble n’avoir qu’une idée en tête sous son chapeau de paille : construire des pyramides… de seaux. Non pas 3 ou 6, mais bien 60 seaux vert citron. Par tous les moyens, surtout les plus fous, il entend leur donner de somptueuses formes géométriques. Ce doux rêveur aligne et empile donc jusqu’à la démesure… Comme pour l’architecte de Cléopâtre, c’est pourtant dans l’imperfection et les erreurs que surgira la poésie. Bakéké (« seau » en hawaïen) est une histoire qui raconte nos propres obstinations, délicieusement absurde et libératrice.
Dans le cadre du Festival Clowns in Progress de la Kulturfabrik
Du japonais, kami : papier, et shibaï : jeu de théâtre. Tout est dit ! Dans le japon du siècle dernier, les conteurs ambulants racontaient des histoires en faisant défiler des planches dessinées dans un petit théâtre en bois.
Artiste associée au Escher Theater, la costumière et scénographe Peggy Wurth propose à votre classe de réaliser ce petit théâtre en carton et en papier, en abordant des techniques de pliages et découpages.
L’atelier se décline de la réalisation à la mise en fonctionnement du petit théâtre, sans omettre la confection de scènes et de personnages. Les participant·es deviendront tour à tour bricoleur·euses, scénaristes et illustrateur·rices, voire même – pour les plus audacieus·es – conteur·euses !
L’atelier aura lieu à deux dates, à votre choix :
– 28/02 de 8h30 à 11h30
– 07/03 de 8h30 à 11h30
Prêtez y attention : pour ce spectacle, les représentations du 25/03 (tout public) et du 30/03 (séance scolaire) sont en français. Les représentations du 26/03 (tout public), du 27/03 et du 29/03 (séances scolaires) sont en luxembourgeois.
FR Sophia et Frank découvrent une malle d’un autre temps. Tissus fabuleux, machines mystérieuses et vieilles photos : les deux ami·es vont jouer avec ces objets oubliés et imaginer une histoire fantastique. Un jeune garçon, de la terre, s’y éprend d’une petite fille qui sort des flots. Qu’est-ce que la terre ? Qu’est-ce que la mer ? Comment montrer à l’autre son univers ? Et comment se rejoindre ? Adapté du célèbre conte portugais éponyme, ce spectacle loge le merveilleux dans un grenier pour évoquer l’innocence de l’enfance, les épreuves qui font grandir, l’amitié et la douce nostalgie d’un ailleurs, la saudade.
LU A Menina do Mar ass dat éischt Kannerbuch, dat déi bekannt portugisesch Schrëftstellerin Sophia de Mello Breyner Andresen 1958 geschriwwen huet. Dëst Märchen erzielt vun enger aussergewéinlecher Frëndschaft tëscht engem Jong, deen um Land wunnt, an engem Meedchen, dat am Mier lieft. De Virwëtz vun deenen zwee Kanner erméiglecht et hinnen, trotz hirer Verschiddenheet, deem aneren seng Welt kennen an acceptéieren ze léieren. D’Meedche léiert wat et heescht, eppes ze begieren, a wat Frëndschaft a Freed ass; de Jong ass averstanen, seng Welt opzeginn a mam Meedchen um Mieresbuedem ze liewen.
Le spectacle est aussi présenté au CAPE Ettelbruck le 9 et 11 juin 2023.
Intergénérationnel et pluridisciplinaire. Ligeti projet est un spectacle participatif créé tout au long de la saison 22/23. Sous la direction de la danseuse Piera Jovic et de la pédagogue de théâtre Anja Hoscheit, deux classes scolaires d’Esch et un groupe de seniors joignent leurs esprits créatifs pour présenter une pièce de théâtre musical et de danse. Ces deux groupes seront accompagnés sur scène par les musicien·nes de l’Orchestre de Chambre du Luxembourg, au fil des compositions de György Ligeti, qui fêterait son 100e anniversaire en 2023.
D’Nikki huet eng ganz besonnesch Superkraaft.
Hatt spillt mat der Sprooch!
D’Nikki, e ganz normaalt Meedchen, erzielt immens gäre vu senge verréckten Erliefnisser an de Stroossen vu Räppeldeng. Räppeldeng? Jo, Räppeldeng, dat kléngt léift Duerf matzen an der Mëtt vu Lëtzebuerg! Hei ass et nach schéin, roueg a gemittlech, oder? Do kann een sech zwar mol gewalteg ieren, well wann d’Nikki mat senger Clique lassleet, sech an d’Nikki Ninja verwandelt a seng Geschichten zielt, da rabbelt et! D’Wierder fléien da just sou aus sengem Mond, an et reent Rhymes amplaz Knëppelsteng zu Räppeldeng. Säi Flow ass witzeg an éierlech… einfach nëmmen Ninja. Wuertspiller, wéi een se nach ni héieren huet, Reimer, déi engem d’Zong verdréinen a Beats, déi ënner d’Haut ginn…
D’Nicole Bausch, de Pol Belardi an den Dennis Scholtes hunn sech ënnert der Regie vum Dan Tanson zesumme gedoen, fir Hiphop mat Jazzmusek an aler Boom-bap Manéier zesummen ze bréngen, an esou Hiphop kannergerecht zougänglech ze maachen. RAP steet fir Rythm and Poetry. A wat hu Kanner gär? Rhythmus a Poesie!
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