Le mensonge

« Les mots sont sortis tout seuls ». C’est l’histoire d’une petite fille qui se couche le soir avec un gros mensonge. Le matin suivant, le mensonge est encore là. Il persiste, devient entêtant, jusqu’à la déboussoler ! Comment dire la vérité maintenant ? La chorégraphe Catherine Dreyfus nous immerge dans le monde intérieur de la petite fille, monde plein de rêves, d’obsessions et d’hallucinations. Emportée dans une expérience vertigineuse, seuls son courage et l’amour de ses parents lui permettront de s’en sortir. Car la bulle finit par éclater comme la vérité, et la petite fille est enfin soulagée !

Machine de cirque

Ils sont beaux, jeunes et (dé)culottés. Tout droit venus du Québec, quatre acrobates et un musicien dégainent des numéros époustouflants et hilarants. Mât chinois, monocycle perché et bascule coréenne : tout s’enchaîne dans un tourbillon alimenté par une énergie collective musclée et un scénario diablement déjanté. Sur scène, nos cinq lascars interprètent les rescapés d’un monde soudain privé de femmes et de technologies. Une mission, des plus urgentes, s’impose alors : trouver d’autres survivant·e·s. Et la partie s’annonce périlleuse. Ce spectacle bourré d’optimisme nous ferait presque souhaiter que la fin du monde soit pour demain !

Go !

La bonne philosophie du tatami. Deux hommes se mesurent du regard. Ils se cherchent, se trouvent et se jouent l’un de l’autre, sans chercher à se blesser. Car comme le dit un proverbe : « La montagne ne rit pas de la rivière parce qu’elle est petite. La rivière ne rit pas de la montagne parce qu’elle ne bouge pas » ! Nos deux danseurs se respectent mutuellement et leurs instincts originels renouent avec les valeurs d’ouverture, d’humilité et d’émancipation. Go ! allie précision, humour, sensualité et explosivité pour exprimer des traits communs à la danse et aux arts martiaux : la perfection du geste et la beauté du mouvement.

Wilhelm B

Désolé, ce texte n’existe pas en français.

Ein ruhiges Leben im Dorf, mehr wollen der verträumte Barde Balduin und sein Nachbar Onkel Fritz nicht. Wäre da nur nicht Fipps, der durchtriebene Affe. Auf Französisch parlierend stolziert das stattliche Männchen durch die Dorfgemeinschaft. Als Fipps dann auch noch Onkel Fritz und Balduin austrickst, um an eine halbe Banane zu kommen, reicht es den beiden. Gemeinsam versuchen sie dem schlauen Affen eine Falle zu stellen. Mit viel Witz erweckt Le Grand Boube die Figuren von Wilhelm Busch wieder zum Leben und setzt dem findigen Affen Fipps ein spritzig-humorvolles Denkmal.

Humanimal

L’histoire commence l’instant d’après. Après un tremblement de terre. Un enfant est là, face à une immense page blanche. En partant de son état sauvage, il façonne avec ses mains, son corps et de l’encre noire sa propre façon d’être au monde. Forêts, fauves, oiseaux et pluie : il crée une oeuvre où les frontières entre les mondes implosent et l’humain et le non-humain dialoguent. Bercée par une musique live envoûtante, Humanimal est une réappropriation de notre créativité quand l’instinct exprime toute sa force, une rencontre douce et immédiate avec l’animal qui palpite en nous.

 

Mention spéciale du jury « Expérience singulière » aux Rencontres de Huy 2018

Frusques

Quatre personnes émergent au milieu d’un no man’s land de friperies de seconde main, reliquats intimes d’une société révolue. Où sont-ils et qui sont-ils ? Ils ne le savent pas eux-mêmes, mais n’en attendent pas moins pour faire usage de ces trésors. Les vêtements s’entassent, s’empilent et deviennent de précieux refuges : fantastiques habit(acle)s tantôt à soi, tantôt à tous. Au fil des amours et des amitiés liés ou déliés, nos quatre hurluberlus vont affirmer leur personnalité, apprendre à vivre ensemble et, au final, s’épanouir !

Nebensache

Désolé, ce texte n’existe pas en français.

Cornelius schläft jede Nacht an einem anderen Ort. Er streicht durch die Lande, denn er hat kein Zuhause aus Stein oder Holz oder Beton oder Eis. Sein Zuhause sind das Unterwegssein und die Menschen, denen er begegnet. Er besitzt nichts, außer einem abgebrannten Kinderwagen. Das war nicht immer so. In dem Kinderwagen verwahrt er seine wenigen Habseligkeiten, und mit sich trägt er eine Geschichte, die er allen erzählt, die sie hören wollen. Es ist eine Geschichte über Glück und darüber, was man braucht, um glücklich zu sein – eine Geschichte über Besitz und Verlust, Schulden und Schuld, Ausweglosigkeit und den Mut zum Neuanfang. Nach dem Ende seiner Erzählung macht sich Cornelius wieder auf den Weg. Seine Zuhörer lässt er nachdenklich zurück.

 

Eintritt frei mit Anmeldungen
Die Vorstellungen finden im Musée National de la Résistance (Place de la Résistance, Esch) statt. Treffpunkt vor der Theaterkasse.

Sac à dos

De leur périple autour du monde, les chorégraphes Jennifer Gohier et Grégory Beaumont ne sont pas revenus les mains vides. Dans leur besace : parfums, cafés, masques extraordinaires… et danses venues d’ailleurs.
Dans un spectacle qui appelle à la rêverie, où un avion se transforme en un increvable minibus, le duo de danseurs-baroudeurs embarque les plus jeunes dans un voyage dansé sur les chemins d’Indonésie, d’Argentine, d’Ethiopie et de Bolivie. La parole s’efface pour laisser libre court à l’émerveillement des sens, et la danse, métissée et magique, offre les prémices du goût pour l’aventure.

Meisterin Hüpf und der scheue König

Ein verzweifelter und überforderter König hat Angst, sein Königreich zu verlieren. Doch bevor er seine Krone vollends wegwerfen kann, trifft er auf die fröhliche Grashüpferin Meisterin Hüpf, die ihn bittet, mit ihr zusammen ein wundersames Rollenspiel zu spielen. Bestärkt und voller neuer Überzeugung will er seiner Pflicht nachkommen, doch Katastrophen-Willi warnt ihn vor einem tobenden Riesen. Er verspürt wieder Angst. Aber vor was? Vor einem Riesen oder einem Gewitter? Die Geschichte der Meisterin Hüpf und des scheuen Königs möchte kleinen und großen Abenteurern zeigen, dass jeder einen unantastbaren Selbstwert besitzt, und es auch völlig in Ordnung ist, Angst zu haben. Eine mutmachende Erzählung für die ganze Familie!

Der standhafte Zinnsoldat

Stefan Wey spielt mit Illusion und Realität, mit Licht und Schatten, mit Feuer und Wasser und lädt (seit 1998 weltweit) ganz nebenbei das Publikum unter die Bettdecke Hans Christian Andersens ein. Mit dem Zinnsoldaten im Papierboot wirbelt das Publikum durch den Rinnstein, ins tosende Meer, in den Bauch des Fisches – bis in die lodernden Flammen des Kaminfeuers oder der Liebe zur Balletttänzerin, die wie der Zinnsoldat auf einem Bein zu leben scheint … Furiose Schauspielkunst und magische Schatten verwandeln die Bühne. Der standhafte Zinnsoldat ist eine Geschichte über Herz und Verstand, über Sein und Schein und eine wunderschöne Metapher über das Anderssein und die Unfähigkeit auszubrechen.

Menu d'accessibilité

Taille de police
Zoom