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ou comment nous ne sommes pas devenues célèbres
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Elles sont quatre et veulent en découdre : ce sont les Slits (« fentes » en français), premier groupe de punk féminin britannique. La première formation, tous genres confondus, à obtenir le contrôle total de son image auprès des maisons de disques. Dans ce spectacle multi-nommé aux Trophées de la Comédie Musicale 2024, 5 femmes et 1 homme, aussi bon·nes comédien·nes que formidables musicien·nes, racontent leur histoire. Et pas de panique ! Vous ne risquez pas de plonger tête baissée dans un pogo : il suffit d’apprécier joyeusement les séquences musicales survoltées empruntant aux Clash, à Iggy Pop, aux Stones, à Patti Smith, et bien sûr aux Slits elles-mêmes. Comme leurs illustres aînées l’ont fait en 1976, ces femmes sur scène osent. Elles osent mettre le violon au placard pour s’emparer d’une guitare électrique ou d’une batterie. Elles osent chanter à pleins poumons pour exprimer la colère de leur génération, et espérer un autre futur.
« Un spectacle formidablement vivant, pêchu et tendre »
Sorry, there’s no English version of this text. Les interprètes du spectacle musical PUNK.E.S proposent un atelier de pratique théâtrale. Après une petite présentation du spectacle et de la ...
Article de Fabienne Darge paru dans Le Monde, 21/07/2023 Dans le « off » du festival, à La Scala Provence, Rachel Arditi et Justine Heynemann redonnent vie au premier groupe de punk féminin, créé ...
Ovationné au Festival d’Avignon, ce spectacle envoie valser les stéréotypes et dresse le portrait d’une jeune femme qui doit s’inventer pour s’affirmer.
Ovationnée au Festival d’Avignon, cette comédie venue tout droit du Quebec invite le public – jeunes et adultes – à réfléchir au poids qu’il porte, et surtout à celui qu’il possède face au monde.
Dans cette nouvelle création engagée et poétique, la metteuse en scène Aurélie Namur propose un regard sur l’éco-anxiété et le militantisme chez la jeunesse d’aujourd’hui.
Lia Rodrigues draws her commitment and creativity from a favela in Rio de Janeiro. In Borda, the Brazilian choreographer counters walls and barbed wire with a will: to break free of borders, share and be in communion.
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