La Croix
« Un formidable organe vital commun. Un idéal mis en mouvement par des artistes féminines à la puissance communicative. »
Figure mondiale de la scène hip hop, Ousmane Sy – subitement disparu en 2020 – s’est imprégné de la house dance découverte dans les clubs de New York et de Chicago. Comme Queen Blood ovationné la saison passée au Escher Theater, son ultime spectacle fait danser une équipée exclusivement féminine, propulsée cette fois en direct par les platines d’un DJ. Joueuses et combatives, confondantes de précision, ces femmes se lancent dans d’insolents solos ou font corps toutes ensemble. Avec l’énergie exaltante des « battle », elles créent un espace de fête, d’expression de soi et de partage, dans une furieuse envie de vivre.
« Un formidable organe vital commun. Un idéal mis en mouvement par des artistes féminines à la puissance communicative. »
« Cette afro-house, irradiée de voix féminines dont celles de Busiswa Gqulu, Ane Brun ou Nina Simone, mixées avec la collaboration d’Adrien Kanter, donne du ressort aux tricots de jambes rapides et légers des interprètes. »
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