HMEsch goes JAZZ

Quand le jazz est là, l’Harmonie Municipale Esch-sur-Alzette ne s’en va pas. Elle reste et s’en donne à coeur joie. Partant d’un répertoire composé de références bien connu comme Leonard Bernstein, Artie Shaw ou Dmitri Chostakovitch, l’ambiance se dilue ensuite en une véritable atmosphère de club. La trompette d’Ernie Hammes débridera l’Orchestre dans des envolées où se croiseront : une première mondiale, des classiques de grands big band d’hier et d’aujourd’hui, et des performances solos en pleine ébullition. Une soirée pour mettre les artistes, les publics, et le jazz, dans tous leurs états.

Concert de Nouvel An

Et c’est (re)parti. Gast Waltzing ouvre l’année avec un concert où les styles se croisent et se réinventent. Le chef d’orchestre aura sur sa droite l’Orchestre de chambre luxembourgeois Estro Armonico, et sur sa gauche, la chanteuse ivoirienne Dobet Gnahoré et ses musicien·nes. Avec sa voix puissante et sa présence scénique impressionnante, cette lauréate d’un Grammy puise son inspiration dans l’énergie créative d’Abidjan, empruntant aux mélodies mandingues, à la rumba zaïroise, au ziglibiti ivoirien ou encore au bikutsi camerounais. Un concert aux sonorités  panafricaines modernes et traditionnelles, qui promet un beau moment de partage.

La Louve

Dans un village enneigé, la petite Lucie tombe gravement malade. Une louve qui rôde près des habitations lui a jeté un sortilège. Sa louvette a été enlevée par un villageois pour en faire un manteau. Qu’on lui rende sa fille, sinon Lucie mourra… Revêtant la peau de loup, Romane, orpheline du village, décide de se faire passer pour la louvette afin de déjouer le malédiction et sauver son amie. Mais plus elle grogne, renifle et bondit, plus Romane est fascinée par la majestueuse louve… Jusqu’où l’emmènera son subterfuge ? Quel est cet appel de la forêt que la petite éprouve soudain ? La Louve est une fable sur l’amitié, la parentalité, la métamorphose, le rapport des humains aux espèces sauvages et au vivant.

Le Rouge et le Noir

1830. Besançon. Julien Sorel est jugé pour avoir tenté de tuer son ancienne amante. La sentence sera maximale. Plus que ce meurtre raté, c’est l’ascension sociale de ce fils de charpentier qui est dans le collimateur de la cour bourgeoise. Il a osé s’affranchir de ses origines modestes.
Tout était pourtant bien parti. La jeunesse, l’intelligence et la volonté d’être aimé : le brillant jeune homme est parvenu à se hisser en haut de la société par son savoir et ses liaisons avec Madame de Rênal et Mathilde de la Mole. C’est au moment d’être anobli qu’il est rattrapé par sa nature ambitieuse…
La metteuse en scène Catherine Marnas propose une adaptation condensée et actuelle du grand roman de Stendhal. Quelles pensées habitent Julien Sorel, qui à l’instar de l’écrivain et transfuge de classe Édouard Louis, est pétri d’un puissant sentiment de rage et d’injustice sociale.

Une introduction au spectacle par l’équipe artistique aura lieu à 19h15.

Festival Textes sans frontières

Le festival Textes sans frontières, c’est quoi ? Des textes d’auteur·rices contemporain·es d’une région du globe, des artistes de théâtre réuni·es pour l’occasion, dans plusieurs lieux de spectacle de la Grande Région.

Pour cette nouvelle édition dédiée aux écritures en temps de guerre, les territoires concernés sont l’Ukraine, la Russie, l’Iran et la Syrie. Plus que de simples lectures, les textes sont joués sous une forme scénique légère. L’enjeu est de faire vibrer ces fragments de vies, pour ensuite se retrouver ensemble, publics et artistes, autour d’un brunch.

Lectures 11:00 – 17:00
Brunch 13:00

Plus d’informations à venir à partir de l’été 2025.

Legends

Mythologiques, médiévales et fantastiques, les légendes courent au travers des siècles. Elles portent en elle des valeurs intemporelles… et des sonorités majestueuses ! L’Harmonie Municipale Esch-sur-Alzette propose de redécouvrir ces compositions qui convoquent l’imaginaire. Une histoire écrite et racontée par le conteur luxembourgeois François Conrad sera associée à des musiques inspirées de récits légendaires, avant que les instruments ne fassent retentir les mélodies de Johan de Meij nées de la lecture du Seigneur des Anneaux de J.R.R.Tolkien.

Timepieces

Renverser les codes, débusquer les habitudes, et jouer d’instruments possibles et impossibles. Cette audace assumée est le moteur de Louisa Marxen. Dans Timepieces, les cymbales et les tambours se joignent à des objets insolites : une horloge, des douilles d’obus de la Seconde Guerre mondiale ou encore un sac débordant de balles de ping-pong multicolores. Sur les compositions originales, entre autres, de Catherine Kontz et Louis Andriessen, la musicienne luxembourgeoise se prête à de magnifiques combinaisons. Rythmes et percussions offrent une expérience sonore inédite qui invite à penser différemment notre notion du temps.

HéngerhautGeschichten

Désolé, ce texte n’existe pas en français.

„Fir t’éischt spiers du et am ënneschte Réck. Dono krabbelt et gaaanz, gaanz lues laanscht d’Wirbelen de Réck erop, léisst sech kuerz tëscht de Schëllerblieder nidder, éier et säi Wee bis an d’Genéck fënnt, an awer ginn déng Ouere grouss op…“ An engem intime Kader lueden d’Erzielkënschtlerin Betsy Dentzer an d’Perkussionistin Louisa Marxen hire Publikum an, senger Fantasie fräie Laf ze loossen. Aus der ufänglecher Stackdäischtert eraus entstinn erzielte Welten, fir d’éischt just mat Geräischer a Kläng. Lues a lues gëtt et méi hell an d’Hänn, d’Kierperen an d‘Luuchten erziele mat. HéngerhautGeschichten entféiert d’Zuschauerinnen an d‘Zuschauer an eng geheimnisvoll Ambiance, déi an de Käpp nach laang nowierke wäert.

Tell it again, Sam

LU D’Dier vum Café geet op, d’Luuchte ginn un. D’Leit kommen a ginn. Si erzielen, si ginn erzielt a lues a lues dauchen se op: d’Geschichten, déi jidderee vun eis a sech dréit. Dobäi geet et ëm d’Léift, de Krich an d’Frëndschaft, ëm d’Suergen an d’Hoffnungen, déi eis markéieren. D’Zitat „Play it again, Sam“, fälschlecherweis dem Personage Rick aus dem Filmklassiker Casablanca zougesprach, war de Startpunkt vun dësem Erzielstéck. D’Erzielkënschtlerinne Luisa Bevilacqua a Betsy Dentzer hunn dorauser eng atmosphäresch Welt erschafen, déi d’Mënschheet mat all hire Geschichte feiert. Begleet gi si dobäi vun der Perkussionistin Louisa Marxen.

FR Aux premières lueurs de l’aube, un café ouvre ses portes. On s’y croise pour boire un verre, on s’accoude franchement, on bavarde, et c’est alors tout un monde qu’on écoute. Les deux artistes-conteuses Luisa Bevilacqua et Betsy Dentzer n’ont pas leur pareil pour camper des personnages et raconter des histoires, accompagnées par les sonorités inattendues et inventives de la percussionniste Louisa Marxen. Cocasses et désopilantes, tendres et poétiques, ordinaires ou surprenantes, ces histoires sont un peu les nôtres aussi, de celles que nous portons en chacun·e de nous.

Anplackt

Désolé, ce texte n’existe pas en français.

Mat hirem Programm Anplackt geet et fir de Serge Tonnar a seng Band zeréck bei d’Wuerzelen. Duerch e besonnesche Fokus op akustesch Kläng loossen sech d’Lidder vun der bekannter Gruppéierung frësch an nei entdecken. Inspiratioun zéien déi fënnef Kënschtler ë. a. aus der Weltmusek, aus Balladen a Protest-Songs. Am Zentrum steet dobäi den Album Jo an Amen, deen d’Band tëscht 2020 an 2022 opgeholl huet. Dës extrem Zäit hannerléisst hir Spueren am Serge Tonnar sengen Texter. De Stëlltefëller, wéi hien sech nennt, séngt iwwer d’Grondsätz, déi eng Gesellschaft ausmaachen; et geet ëm Natur a mënschlech Fräiheet, ëm Liewen an Doud, ëm Frëndschaft a Léift.

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