Renverser les codes, débusquer les habitudes, et jouer d’instruments possibles et impossibles. Cette audace assumée est le moteur de Louisa Marxen. Dans Timepieces, les cymbales et les tambours se joignent à des objets insolites : une horloge, des douilles d’obus de la Seconde Guerre mondiale ou encore un sac débordant de balles de ping-pong multicolores. Sur les compositions originales, entre autres, de Catherine Kontz et Louis Andriessen, la musicienne luxembourgeoise se prête à de magnifiques combinaisons. Rythmes et percussions offrent une expérience sonore inédite qui invite à penser différemment notre notion du temps.
HéngerhautGeschichten
Désolé, ce texte n’existe pas en français.
„Fir t’éischt spiers du et am ënneschte Réck. Dono krabbelt et gaaanz, gaanz lues laanscht d’Wirbelen de Réck erop, léisst sech kuerz tëscht de Schëllerblieder nidder, éier et säi Wee bis an d’Genéck fënnt, an awer ginn déng Ouere grouss op…“ An engem intime Kader lueden d’Erzielkënschtlerin Betsy Dentzer an d’Perkussionistin Louisa Marxen hire Publikum an, senger Fantasie fräie Laf ze loossen. Aus der ufänglecher Stackdäischtert eraus entstinn erzielte Welten, fir d’éischt just mat Geräischer a Kläng. Lues a lues gëtt et méi hell an d’Hänn, d’Kierperen an d‘Luuchten erziele mat. HéngerhautGeschichten entféiert d’Zuschauerinnen an d‘Zuschauer an eng geheimnisvoll Ambiance, déi an de Käpp nach laang nowierke wäert.
Tell it again, Sam
LU D’Dier vum Café geet op, d’Luuchte ginn un. D’Leit kommen a ginn. Si erzielen, si ginn erzielt a lues a lues dauchen se op: d’Geschichten, déi jidderee vun eis a sech dréit. Dobäi geet et ëm d’Léift, de Krich an d’Frëndschaft, ëm d’Suergen an d’Hoffnungen, déi eis markéieren. D’Zitat „Play it again, Sam“, fälschlecherweis dem Personage Rick aus dem Filmklassiker Casablanca zougesprach, war de Startpunkt vun dësem Erzielstéck. D’Erzielkënschtlerinne Luisa Bevilacqua a Betsy Dentzer hunn dorauser eng atmosphäresch Welt erschafen, déi d’Mënschheet mat all hire Geschichte feiert. Begleet gi si dobäi vun der Perkussionistin Louisa Marxen.
FR Aux premières lueurs de l’aube, un café ouvre ses portes. On s’y croise pour boire un verre, on s’accoude franchement, on bavarde, et c’est alors tout un monde qu’on écoute. Les deux artistes-conteuses Luisa Bevilacqua et Betsy Dentzer n’ont pas leur pareil pour camper des personnages et raconter des histoires, accompagnées par les sonorités inattendues et inventives de la percussionniste Louisa Marxen. Cocasses et désopilantes, tendres et poétiques, ordinaires ou surprenantes, ces histoires sont un peu les nôtres aussi, de celles que nous portons en chacun·e de nous.
Les gros patinent bien
Il quitte les plaines du Grand Nord, maudit par une sirène pêchée par accident. Il s’évade en patins, à trottinette, en avion. Il découvre l’Écosse, repart vers le sud à dos de mulet, cherche l’amour, toujours. L’histoire serait digne d’une épopée shakespearienne si cet homme-là ne restait pas assis, tout du long, en costume trois pièces. Il est accompagné d’un acolyte en maillot de bain brandissant des centaines de cartons peints, pour faire avancer l’aventure ! Les pancartes défilent, les boites en carton volent et les étapes de voyages s’enchaînent à un rythme survolté. C’est tout le génie de ce road movie poétique et jubilatoire, qui ne s’arrête plus de multiplier les représentations à travers la France.
Dans le cadre du Festival Clowns in Progress de la Kulturfabrik
Molière du théâtre public 2022
Goodbye Stracciatella
Désolé, ce texte n’existe pas en français.
In Goodbye Stracciatella begegnen sich zwei ungleiche Menschen, die sich durch Tanz großen Fragen widmen: Was heißt es, Verzicht zu üben? Wie viel brauche ich, um glücklich zu sein? Zu Beginn tragen die zwei Tänzer allerlei Kleidung – eigentlich haben sie viel zu viele Klamotten an! Mit jeder Schicht, die sie ablegen, und mit jedem Tanz, den sie anstimmen, werden sie freier und offener. So kommen sie auch zu einer Antwort auf ihre Fragen: Wir brauchen weniger, als wir denken. Vor allem brauchen wir mehr Verständnis und mehr Zusammenarbeit.
Atelier pour seniors et personnes à besoins spécifiques
La compagnie Les Plumés propose un atelier de médiation animale dans le cadre du spectacle Pas bête. Cet atelier s’adresse aux personnes isolées, en difficulté sociale et aux personnes âgées ou en situation de handicap. Le contact animalier permet de travailler la motricité sans même s’en rendre compte. L’animal sollicite également la mémoire, le sens de l’observation, il renforce le sentiment d’identité et incite à aller vers l’autre, à engager le dialogue et à s’intégrer au groupe. Cette communication non verbale devient une source de stimulation, de motivation et de réconfort.
Pour vous inscrire, merci de contacter Lena Batal lena.batal@villeesch.lu / +352 2754 4045
Atelier parent-enfant
Autour de D’Prinzessin op der Ierbes, nous vous proposons un atelier de jeux et d’improvisations théâtrales. Cet atelier est conçu pour permettre aux parents et aux enfants de partager un moment de créativité et de découverte du théâtre.
Atelier proposé dans le cadre d’un P’tit brunch du théâtre : un spectacle, de quoi boire et manger, avec un atelier ludique pour petits et grands à la clé !
Spectacle 11h ou 15h
Brunch 12h (réservez : reservation.theatre@villeesch.lu)
Atelier parent-enfant 13h-14h30
Anplackt
Désolé, ce texte n’existe pas en français.
Mat hirem Programm Anplackt geet et fir de Serge Tonnar a seng Band zeréck bei d’Wuerzelen. Duerch e besonnesche Fokus op akustesch Kläng loossen sech d’Lidder vun der bekannter Gruppéierung frësch an nei entdecken. Inspiratioun zéien déi fënnef Kënschtler ë. a. aus der Weltmusek, aus Balladen a Protest-Songs. Am Zentrum steet dobäi den Album Jo an Amen, deen d’Band tëscht 2020 an 2022 opgeholl huet. Dës extrem Zäit hannerléisst hir Spueren am Serge Tonnar sengen Texter. De Stëlltefëller, wéi hien sech nennt, séngt iwwer d’Grondsätz, déi eng Gesellschaft ausmaachen; et geet ëm Natur a mënschlech Fräiheet, ëm Liewen an Doud, ëm Frëndschaft a Léift.
Feste
Avec un art du mime inimitable et des tournées dans le monde entier, la compagnie allemande Familie Flöz donne vie à une fable sans paroles douce-amère, où la magie opère. Dans une villa aux allures de forteresse, située en bord de mer, une famille célèbre le mariage de la fille. Dans l’ombre, la pression sur les domestiques est à son comble. Les étiquettes sociales sont de mise quand soudain, une étrangère enceinte et sans abri fait son apparition. L’ordre des choses s’en trouve bouleversé… Ces personnages naïvement humains, mais sublimes pourtant, nous emportent dans leur sillage avec humour, poésie et tendresse, sans distinction aucune.
Makom
Dans un monde où chacun et chacune cherche un abri sûr, la compagnie de classe mondiale Vertigo oppose, aux murs et à l’isolement, un imaginaire de réconciliation et de fraternité. Sur scène, 10 danseur·euses sont secoué·es par des forces irrépressibles, comme autant d’électrons qui gravitent autour d’un centre. Ces êtres tournoient, marchent, courent, tantôt aimantés et unis, tantôt repoussés et éloignés les uns des autres. Sont-ils libres de vivre ensemble, ou prisonniers d’un système qui les poussent à la division ? Tour à tour sensuels et contemplatifs, éruptifs et contenus, les corps se balancent au travers de branches qui pourraient, tel un pont, les rapprocher.