Théâtre

Scapin 68

Molière Thierry Debroux
06.02.2020 + 07.02.2020

Coupe afro et lunettes rondes à la John Lennon, jeans à patte d’éléphant, chemisier à fleurs… la pièce emblématique Les Fourberies de Scapin passe à travers le filtre de mai 68 et de ses slogans indélébiles. Les puristes reconnaîtront la fougue des jeunes Octave et Léandre, les envolées des patriarches Arcante et Géronte ainsi que les malices d’un certain Scapin, dans un texte respecté à la virgule près. Mais la mise en scène, elle, est parfaitement endiablée et haute en couleur. Quand le rideau se lève, les pères sont en voyage et les fils rêvent d’amour libre et sans contraintes. La panique s’installe à l’annonce du retour précipité des géniteurs. Et face au projet de mariage arrangé qui se profile, les stratagèmes de Scapin ne seront pas de trop pour contrecarrer – ou pas – les plans paternels. Trois siècles et un grand mouvement estudiantin plus tard, le comique d’un Molière travesti en mode Flower Power n’est jamais paru aussi drôle et spirituel.

Une demi-heure avant la représentation, les artistes proposent un mini-concert sixties façon Woodstock ! 

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Informations

  • Durée 95' min.
  • Langue FR
  • Lieu Grande salle

Générique

Texte
Molière
Mise en scène
Thierry Debroux
Assistante à la mise en scène
Catherine Couchard
Scénographie
Thibaut De Coster, Charly Kleinermann
Costumes
Elise Abraham, Thibaut De Coster, Sarah Duvert, Charly Kleinermann
Création lumière
Alain Collet
Décor sonore
Loïc Magotteaux
Avec
Julien Besure, Mickey Boccar, Laure Godisiabois, Thierry Janssen, Othmane Moumen, Brigitta Skarpalezos, Benoît Van Dorslaer, Simon Wauters
© Zvonock

Production

Coproduction
Théâtre Royal du Parc ; Atelier Théâtre Jean Vilar ; Théâtre de Liège ; DC&J Création
Soutien
Tax Shelter ; Gouvernement fédéral belge ; Ets Georges Magis ; TSF.be ; Inver Tax Shelter
Avec la participation de
Centre des Arts scéniques

Dans la presse

Le Soir

« En une heure et demie, le rythme ne retombe pas une seconde, soutenu par moult inventions fantaisistes. (…) Toute la pièce a l'air d'avoir été créée sous LSD mais le public, lui, n'a clairement besoin d'aucun psychotrope pour planer devant ce Scapin 68. »

La Libre Belgique

« La fraîcheur et l’éclat de Scapin 68 repose sur l’interprétation admirablement cocasse qu’en font les comédiens. »

La Première - RTBF

« C’est tout simplement formidable ! Othmane Moumen est incroyable, sa gestuelle hilarante est calquée sur celle de Jimmy Hendrix. »

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