Libération « Célébration d'un genre (la commedia dell'arte et ses personnages masqués), Arlequin perpétue un rite où l'improvisation et l'échange avec le public tiennent une large place. Strehler a toujours su préserver l'illusion que, tous les soirs, les spectateurs se voyaient offrir la possibilité de créer leur propre Arlequin. Et dans cette identification, cette sympathie instinctive à l'égard du personnage principal, réside sans doute le secret de la longévité du spectacle. »