Menu
Fermer
8 juin 2022 | Lawrence.Rollier |
Est-ce moi qui rapetisse ou le lieu qui grandit ? Entre les hautes herbes, un nain de jardin impassible rencontre un rat voyageur avec, en ligne de mire, une aventure inattendue ! De ce tête-à-tête germera, après l’effroi, après l’incompréhension, une amitié vive et durable. Les pneus crevés deviennent des radeaux, les coquillages bruissent le chant mystérieux des vagues, et le public – rapetissé entre les pots de fleurs et les pissen- lits – va rire et frémir avec nos deux héros. Une épopée fantastique pour les petit·es qui rêvent en grand et pour les plus grand·es qui retrouvent une âme d’enfant.
Désolé ce texte n’existe pas en français.
Eng Geschicht fänkt vir un an hält hannen op. Zwar net! Haut op d’mannst maache mer alles verkéiert a béien et nees grued. A vläicht bleiwen dono e puer wonnerschéi kleng Bëlzen dran. Well wann hanne vir a vir hannen ass, da ka riicht kromm sinn a kromm och riicht, an alles ass nees genee esou, wéi et soll sinn! Oder net? Komm mir setzen den Z op den A an en T virun all Wuert! Wann dann d’Wieder esou richteg schéi geckeg d’ënnescht d’iewescht bonzelen, da kriss de e Knuet an d’Zong… oder an d’Oueren? Oh meng Modi, wat en Zodi, voller Freed um Duercherneen!
Au commencement était un trou. Dans les chaussettes ou dans le fromage, le trou se trouve partout, juste comme ça, sans raison. On peut l’agrandir ou le reboucher. On peut le regarder, jamais le toucher. Il suffit parfois d’un petit trou pour que l’imagination s’y engouffre et vous emporte, l’air de rien, tout à fait autre part. Les trous, comme les portes, sont des passages vers un ailleurs surprenant. Minimalistes et comiques, deux comédien·nes font apparaître des trous et s’amusent avec eux. La magie de ce monde émerveille alors les plus jeunes. Et vous, que vous évoqueront ces petits trous de rien du tout ?
9 juin 2021 | Lawrence.Rollier |
Une danseuse se risque délicatement dans un espace empli de dispositifs surprenants et poétiques. De tâtonnements hésitants en progressions téméraires, d’irritations passagères en émerveillements, elle chemine sur un terrain de jeu où les cinq sens sont malicieusement mis en éveil. Dans ce monde sensoriel et sensiblement déroutant, le toucher devient son et le son devient musique !
Représentation à l’Ariston (9, rue Pierre Claude, 4063 Esch-sur-Alzette).
« Les mots sont sortis tout seuls ». C’est l’histoire d’une petite fille qui se couche le soir avec un gros mensonge. Le matin suivant, le mensonge est encore là. Il persiste, devient entêtant, jusqu’à la déboussoler ! Comment dire la vérité maintenant ? La chorégraphe Catherine Dreyfus nous immerge dans le monde intérieur de la petite fille, monde plein de rêves, d’obsessions et d’hallucinations. Emportée dans une expérience vertigineuse, seuls son courage et l’amour de ses parents lui permettront de s’en sortir. Car la bulle finit par éclater comme la vérité, et la petite fille est enfin soulagée !
Sur scène, une grande boite. Comme un énorme emballage, une cabine téléphonique, un atelier, un ascenseur ou… une navette spatiale ? Des lampadaires en sortent. Un petit chef d’orchestre donne le rythme. Un couple danse. Une laisse de chien cherche son chapeau. Entre manipulation à distance et autonomie apparente, la lumière, la musique, les personnes et les objets se mettent à jouer de concert, comme par magie ! Quelles sont les forces capables de mettre les choses en mouvement ? Big Box interroge notre regard pour rendre possible ce qui, à première vue, semblait inimaginable.
Bartok et Pipp feraient volontiers du fitness, s’ils n’étaient pas en permanence interrompus par d’étranges bruits provenant du voisinage. Pssst… écoutez, écoutez ! Des ritournelles extraordinaires ensorcellent peu à peu nos deux amis et emportent bientôt toutes et tous dans leur sillage. Les musicien·nes jouent, les murs tombent et le public se joint à la fête pour découvrir le monde merveilleux de… devinez qui… Wolfgang Amadeus Mozart.
17 juin 2020 | Lawrence.Rollier |
Un spectacle musical tout en poésie et douceur. L’hiver rugueux approche. La ferme est abandonnée et la grange et le grenier sont vides… Tous les mulots font inlassablement provision de maïs et de noisettes. Tous ? Non ! L’irréductible Frederick ne se joint pas à la ribambelle de ces petites mains ouvrières. Au lieu de se démener à de rudes tâches, il sommeille et rêve… Car pendant les longues soirées d’hiver, Frederick sait que les mulots auront soif de chaleur et de belles histoires. Il fait donc provision de soleil, de couleurs et de mots. Il est un poète, un magicien du bonheur.
Une danseuse se risque délicatement dans un espace empli de dispositifs surprenants et poétiques. De tâtonnements hésitants en progressions téméraires, d’irritations passagères en émerveillements, elle chemine sur un terrain de jeu où les cinq sens sont malicieusement mis en éveil. Dans ce monde sensoriel et sensiblement déroutant, le toucher devient son et le son devient musique.
Bartok et Pipp feraient volontiers un peu de fitness, s’ils n’étaient pas interrompus en permanence par d’étranges bruits venant de chez leurs voisins. Pssst…, écoutez, écoutez ! Voilà que nos deux amis sont ensorcelés par des instruments extraordinaires et d’envoûtantes ritournelles qui emportent toutes et tous dans leur sillage. Les murs tombent et le public se joint à la fête, invité à découvrir un monde merveilleux autour de… devinez qui… Wolfgang Amadeus Mozart ! Un spectacle ludique sur la curiosité et l’amitié.
Certains cookies sont nécessaires au fonctionnement de ce site. En outre, certains services externes nécessitent votre autorisation pour fonctionner.